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Le premier "portatif" de la marque, Niki est né en 1959, suivi du TK1 et du TK2, sur une période allant de 1959 à 1966. Mono vitesse (9,5cm/s), bipiste, avec une bobine de 8cm la durée d'enregistrement était le point faible, en revanche la qualité de restitution était correcte et le poids plus que raisonnable. L'appareil présenté est piles/secteur, il était possible de changer le fond pour le transformer en version piles seules.
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Ultra haut de gamme des années 60, ce magnétophone 3 vitesses 2 pistes possédait les caractéristiques nécessaires à l'obtention du label HiFi DIN 45500. Il souffre en revanche du mal de tous les Grundig de l'époque, un alliage Zamak qui tenait mal la durée et devenait trop friable.
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Avant dernier opus de la marque dans la catégorie des enregistreurs "R to R", ce petit 1400 se voulait une alternative simplifiée au leader du genre, le Uher "Report". Monovitesse (9,5), enregistrement automatique, bobines de 13cm système monophonique 4 pistes. Mais sa principale concurrence venait de la part grandissante des appareils à compact cassettes brevet Philips, la cassette Grundig n'ayant réussi à s'imposer. Grundig abandonnera sa ligne de portatifs "Open Reel" (= R to R) avec le TK2200, double vitesse double piste mono pour se consacrer exclusivement à des machines K7
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Radio cassettes portatif - Superhétérodyne à 20 transistors de 1974 - 4 gammes GO PO OC FM (88~108) - Magnéto K7 à enregistrement automatique, triple commutation du type de bande. Robuste (toujours en service quotidien) et musical.